We’ve updated our Terms of Use to reflect our new entity name and address. You can review the changes here.
We’ve updated our Terms of Use. You can review the changes here.

ALBUM • Café Fumeur

by Brindille

/
  • Streaming + Download

    Includes unlimited streaming via the free Bandcamp app, plus high-quality download in MP3, FLAC and more.
    Purchasable with gift card

      €10 EUR  or more

     

1.
Café Fumeur 03:34
CAFÉ FUMEUR Si tu es de mauvaise humeur Si tout t’énerve, si tout t’ennuie Je t’invite au Café Fumeur Jusqu’au bout, au bout de la nuit Il faut vraiment que tu t’arrêtes Il faut vraiment faire une pause Viens, je t’offre une cigarette On va rire de mille choses Allez, allez viens te détendre Ça n’va pas nuire à ta santé Fumer ne réduit pas en cendres Mais ça entretien l’amitié Pour t’éclaircir un peu la gorge Tu n’as qu’à boire un mojito Arrêter d’regarder l’horloge Quand il est trop tard, il est tôt Si tu ne broies que du malheur Si c’est à cause d’une femme Je t’invite au Café Fumeur Jusqu’au bout, au bout de tes larmes Du passé, fais donc table rase Il faut parler ou bien crier Y a que les mégots qui s’écrasent Qui finissent dans les cendriers Allez, allez ne sois plus triste Tu me fais penser à Milord Je suis là pour que tu résistes À l’envie d’aller dans l’décor Tiens, voilà du feu, je t’allume Le tabac, c’est l’anti-démon Je n’veux pas que tu te consumes Aspire la vie à pleins poumons Si tu en as gros sur le cœur Si ce soir tu n’as pas de veine Je t’invite au Café Fumeur Jusqu’au bout, au bout de ta peine Tu verras, dans un verre ou deux La vie sera beaucoup plus belle Cette femme qui te rend malheureux Tu ne penseras plus à elle Allez, allez viens dans mon rade Ici, tu es le bienvenu Demain tu s’ras peut-être malade Mais content d’avoir survécu Tu t’sentiras un peu bizarre Mais tu sauras que rien ne meurt Quand on entre un peu par hasard Ici, dans le Café Fumeur Allez, allez viens dans mon rade Ici, tu es le bienvenu Demain tu s’ras peut-être malade Mais content d’avoir survécu Tu t’sentiras un peu bizarre Mais tu sauras que rien ne meurt Quand on entre un peu par hasard Ici, dans le Café Fumeur…
2.
LE MAL DE MER… Bien sûr, j’ai mes bonnes œuvres De bonté, je fais preuve Et puis je donne même À ces pauvres roumaines Mais parfois, quelle affaire J’ai la tête à l’envers Là, dans ma rue Chambiges Je suis pris de vertiges Et ça m’arrive aussi Villa Montmorency « Chauffeur, j’vous en conjure Arrêtez la voiture ! » Moi, j’ai le mal de Mer… cédès L’argent me donne, je le confesse Des nausées et de la détresse J’ai besoin de quelques compresses Aidez-moi à gérer mon stress À canaliser mes richesses Mes placements et mes espèces Car j’ai le mal de Mer… cédès ! Bien sûr, j’ai les moyens Des valeurs et des biens Des gens à mon service Et quelques comptes en Suisse Mais parfois, j’en frémis Ça me fout le tournis Heureux ceux qui n’ont pas À payer comme moi L’impôt sur la fortune La soie de leurs costumes Les séances du psy Pour lui dire ceci : Moi, j’ai le mal de Mer… cédès L’argent me donne, je le confesse Des nausées et de la détresse J’ai besoin de quelques compresses Aidez-moi à gérer mon stress À canaliser mes richesses Mes placements et mes espèces Car j’ai le mal de Mer… cédès ! Moi, j’ai le mal de Mer… cédès L’argent me donne, je le confesse Des nausées et de la détresse J’ai besoin de quelques compresses Aidez-moi à gérer mon stress À canaliser mes richesses Mes placements et mes espèces Car j’ai le mal de Mer… cédès ! Car j’ai le mal de Mer… cédès ! Car j’ai le mal de Mer… cédès !
3.
SOUVENIRS DE LA PALETTE Taram tam tam, taram tam tam Taram tam tam, taram tam tam Taram tam tam, taram tam tam Taram tam tam, taram tam tam Rue du Chevalier-de-la-Barre Là-haut sur la butte Montmartre Bien à l’écart du tintamarre Il était un café-théâtre Ce lieu s’appelait La Palette En référence à tous les peintres À la bohème et aux guinguettes La belle époque de l’absinthe Taram tam tam, taram tam tam Taram tam tam, taram tam tam C’est là que tout a commencé Au cœur des années quatre-vingt Premières chansons, premiers succès Brindille a remplacé Sylvain Avec aplomb et sans micro Je chantais sur une bande-orchestre Comme une vedette, comme un pro Et ma foi, ça l’faisait du reste Taram tam tam, taram tam tam Taram tam tam, taram tam tam Payé avec un lance-pierre Mais beaucoup d’applaudissements Parfois serveur, parfois vestiaire La vie d’artiste finalement Le ventre vide, la tête pleine D’espoirs et de rêves de gloire Devant trente personnes à peine Je vous jure qu’il fallait y croire Taram tam tam, taram tam tam Taram tam tam, taram tam tam Jacob, Cécile, Arnaud, Anefrance Et puis surtout Alexandra La folle équipe en partance Pour la galère, c’était extra Lorsque la page fut tournée Nous laissant seuls à nos destins Au gré du vent et des années Chacun a suivi son chemin Taram tam tam, taram tam tam Taram tam tam, taram tam tam Il m’arrive parfois aujourd’hui Quand le cafard cogne dans ma tête De ressortir du fond de la nuit Les souvenirs de La Palette Rue du Chevalier-de-la-Barre Là-haut sur la butte Montmartre Bien à l’écart du tintamarre Il était un café-théâtre Taram tam tam, taram tam tam Taram tam tam, taram tam tam Taram tam tam, taram tam tam Taram tam tam, taram tam tam…
4.
LES FILLES, ÇA PARLE TROP ! Les filles, ça parle trop Ça parle beaucoup trop Pire qu’les mecs au bistro Ça parle trop Les filles, ça parle trop Ça parle beaucoup trop Isa, Lily, Caro Ça parle trop Patati patata Ça n’fait jamais de pause Et pia-pia et blabla Il faut toujours qu’ça cause Les filles, ça parle trop Ça parle beaucoup trop Ça y va allegro Ça parle trop Les filles, ça parle trop Ça parle beaucoup trop Leur tendez pas l’micro Ça parle trop Ça papote, ça jacasse Ça pousse des grands cris Coucouanne comme des bécasses Au s’cours, tous aux abris Les filles, ça parle trop Ça parle beaucoup trop En voiture, en métro Ça parle trop Les filles, ça parle trop Ça parle beaucoup trop Le silence, zéro Ça parle trop Elles font tout un boucan Pour une paire de chaussures Pour les derniers cancans Car c’est dans leur nature Les filles, ça parle trop Ça parle beaucoup trop Vade, vade retro Ça parle trop Les filles, ça parle trop Ça parle beaucoup trop T’as bien raison frérot Ça parle trop Pour qu’elles mettent une sourdine Pour qu’elles baissent le ton Il leur faut une angine Ou une fellation Pour qu’elles mettent une sourdine Pour qu’elles baissent le ton Il leur faut une angine Ou une fellation.
5.
BLANCHE-NEIGE ET CENDRILLON Blanche-Neige et Cendrillon Dorment dans le même lit Elles s’aiment et elles font De leurs corps toutes les folies Non, pas de prince charmant De châteaux et de richesses Mais un p’tit appartement Dans l’sixième, rue Princesse Blanche-Neige et Cendrillon C’est un joli tourbillon Que les anges les protègent Cendrillon et Blanche-Neige Blanche-Neige et Cendrillon Se promènent main dans la main Elles s’embrassent avec passion Dans les rues de Saint-Germain Elles n’ont pas peur des sorcières Aucun mal ne les effraie Elles mènent à leur manière Leur vie comme un conte de fées Blanche-Neige et Cendrillon C’est un joli tourbillon Que les anges les protègent Cendrillon et Blanche-Neige Blanche-Neige et Cendrillon Bientôt, auront un bébé Petite fille, petit garçon Elles vont être comblées Voilà leur très belle histoire Écoutez bien, les enfants C’est la seule qu’il faut croire Le reste n’est que du vent Blanche-Neige et Cendrillon C’est un joli tourbillon Que les anges les protègent Cendrillon et Blanche-Neige Blanche-Neige et Cendrillon C’est un joli tourbillon Que les anges les protègent Cendrillon et Blanche-Neige… (Paroles et musique : Brindille)
6.
Céline 05:43
CÉLINE Comment croire que tant de génie Cachait une si grande haine Le visage de l’ignominie L’horreur à figure inhumaine Que derrière la petite musique La révolution littéraire Couvait l’exaltation cynique Aux pestilences pamphlétaires Les mots nous soulèvent le cœur De bagatelles dégueulasses De cadavres en puanteur De beaux draps étalant leur crasse Serait-ce là toute la gloire Du maudit et du mal-aimé Qui réussit contre l’histoire À nous bouleverser à jamais Oui, comment ignorer aussi Derrière les cris de désespoir La douleur que rien n’adoucit Notre horizon morbide et noir Ne pas lire au-delà des mots En chercher le sens et l’essence N’en extraire que les pires maux Scander d’opportunes sentences L’héroïsme de pacotille Et la pourriture du monde Les fausses valeurs aux chevilles Sont toujours nos ancres profondes Sommes-nous vraiment prisonniers De nos hypocrites consciences Pour qu’on s’oblige à s’indigner À dresser bûchers et potences Comment peut-on aimer encore Chasser, hurler avec les loups Danser dans le triste folklore Des bien-pensants et des jaloux Bébert doit se tordre de rire Comme la mort derrière le blabla Les illusions et les délires Dans les pages de Mea Culpa Tant de plumes ont trempé leur bec Dans l’encrier de l’aversion Tant d’œuvres dans nos bibliothèques Dans le rayon des abjections Nos étagères seraient bien vides Sans Aragon et Baudelaire Léautaud, Proust, Genet et Gide Jouhandeau, Morand, Sartre et Voltaire Comment peut-on croire aujourd’hui Qu’après un voyage qui mène Au bout d’une si longue nuit Un homme puisse en sortir indemne Il est à l’issue du tunnel Exilé, proscrit, détesté Mais, privilège exceptionnel, De toute entrave délesté D’aucuns rêvent d’une flânerie Où ils arrivent lentement De sombritudes en féeries À Montmartre, au commencement Et découvrent avec émotion Le cœur battant dans la poitrine La plaque de commémoration Saluant Louis-Ferdinand Céline.
7.
LE TEMPS D’AVANT Tous les jours, je suis triste Que tu ne sois plus là Même si tu existes Ailleurs dans l’au-delà Pour calmer ma souffrance Et pour sécher mes yeux La nuit dans le silence Je pense aux jours heureux Je m’en vais faire Un voyage dans mon cœur Loin en arrière Dans les années bonheur Dans l’éphémère De nos jeux chamailleurs Moi, le grand frère Et toi, ma jeune sœur Oui, c’est bien toi Qui apparaît souvent Tu viens vers moi Dans la brume et le vent Comme autrefois Quand on était enfants Oui, je revois Le temps, le temps d’avant Tu n’as pas eu la chance D’avoir, petite sœur Au sortir de l’enfance Un ange protecteur Tu as joué avec la mort Bien sûr, elle a gagné J’ai tellement de remords De m’être éloigné Je m’en vais faire Un voyage dans mon cœur Loin en arrière Dans les années bonheur Dans l’éphémère De nos jeux chamailleurs Moi, le grand frère Et toi, ma jeune sœur Oui, c’est bien toi Qui apparaît souvent Tu viens vers moi Dans la brume et le vent Comme autrefois Quand on était enfants Oui, je revois Le temps, le temps d’avant Les parents s’habituent Avec les souvenirs Tes enfants continuent Tous à se soutenir Nous deux, c’est évident On va se retrouver Oui, mais en attendant J’ai besoin de rêver Je m’en vais faire Un voyage dans mon cœur Loin en arrière Dans les années bonheur Dans l’éphémère De nos jeux chamailleurs Moi, le grand frère Et toi, ma jeune sœur Oui, c’est bien toi Qui apparaît souvent Tu viens vers moi Dans la brume et le vent Comme autrefois Quand on était enfants Oui, je revois Le temps, le temps d’avant La la la la la la La la la la la la Moi, le grand frère Et toi, ma jeune sœur Tu viens vers moi Dans la brume et le vent Oui, je revois Le temps, le temps d’avant…
8.
À LA CHAMPMESLÉ En ce temps-là, j’allais chanter À La Champmeslé chez Josy Très célèbre bar fréquenté Par les tribades et les gays aussi Dans le quartier Vivienne, oh la la Rue Chabanais, la sulfureuse À la nuit tombée, j’entrais là Dans cette alcôve savoureuse À La Champmeslé ! À La Champmeslé ! Décor au charme désuet Et au mobilier d’un autre âge Des curieux, des habitués De bien singuliers personnages Je me glissais près du piano Dans un petit coin de la salle Juste une place pour moi, le micro Et un vieux tabouret bancal À La Champmeslé ! À La Champmeslé ! Chapeauté et vêtu de noir Empreint de trac et de frissons Après un amical « bonsoir » J’égrainais alors mes chansons La fumée et l’effervescence Les bravos et puis les larsens C’était merveilleux quand j’y pense C’était la plus belle des scènes À La Champmeslé ! À La Champmeslé ! Les belles heures de La Champmeslé Ô combien elles me sont chères Dans ma mémoire restent mêlées Des résonances, des atmosphères Allez, après ces confidences Je filoche, il est temps de partir Vers de nouvelles souvenances À très vite de vous revenir À La Champmeslé ! À La Champmeslé ! À La Champmeslé ! À La Champmeslé !
9.
CANNABIS STREET Haschisch kebab et frites Le long de Cannabis Street Nougat et caramel Dans le nouveau cartel Qu'on nomme aussi Kifland Ou la Petite Hollande Wah dou di dou di deh Papoo di dou di wah Quelque part dans Paris Je te salue mari- -juana, sous les arcades Première au Shit-Parade De toutes les stars en herbe C'est elle la plus célèbre Wah dou di dou di deh Papoo di dou di wah Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Les femmes de chanvre habitent Le long de Cannabis Street Elles surveillent leur culture Pas pour les confitures Leurs barrettes dans les cheveux Qui qu'en veut, qui qu'en veut Wah dou di dou di deh Papoo di dou di wah Sous les pavots, la plage Narco Polo voyage En Amérique du Stup Plus rien ne le préoccupe Il voit des elfes en rose Et tout un tas d'autres choses Wah dou di dou di deh Papoo di dou di wah Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Il y a quelques poursuites Le long de Cannabis Street Attention dans le fog Aux flics et aux bouledrogues Qui arrivent à plat ventre Sur leur L. 630 Wah dou di dou di deh Papoo di dou di wah Dans les coins, dans les squats Chacun cherche son khat Miaou miaou poulets Laissez-nous les rouler Du paradis pour tous Si on libérait la douce Wah dou di dou di deh Papoo di dou di wah Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Cannabis, Cannabis, Cannabis Street Du paradis pour tous Si on libérait la douce Du paradis pour tous Si on libérait la douce Du paradis pour tous Si on libérait la douce !
10.
DAMIA D’AMOUR Des parfums de suicide De solitude extrême Des regards vers le vide Des douleurs que l’on traîne Des grands soirs de cafard Des appels à la mort Des adieux, du brouillard Des sanglots dans les ports Damia, Damia d’amour Damia… Diva Tragédienne au long cours Damia d’amour Damia, Damia d’amour Damia… Émoi Dans mon sang pour toujours Damia d’amour Vêtue d’un fourreau noir Les bras posés en croix Madone du désespoir Des hivers tristes et froids La voix éraillée de drames Il y a déjà longtemps A déposé les larmes Pour s’endormir doucement Damia, Damia d’amour Damia… Diva Tragédienne au long cours Damia d’amour Damia, Damia d’amour Damia… Émoi Dans mon sang pour toujours Damia d’amour Le ciel est à la pluie Comme un dimanche sombre Je suis seul aujourd’hui À venir sur sa tombe Le temps alors s’arrête Je pose quelques fleurs J’allume une cigarette Et laisse couler mes pleurs Damia, Damia d’amour Damia… Diva Tragédienne au long cours Damia d’amour Damia, Damia d’amour Damia… Émoi Dans mon sang pour toujours Damia d’amour Damia… Diva Damia d’amour Damia… Émoi Damia d’amour Damia d’amour Damia d’amour…
11.
DEUX PLUS DEUX PLUS DEUX PLUS DEUX… Deux plus deux plus deux plus deux Deux plus deux plus deux plus deux Deux plus deux plus deux plus deux Deux plus deux plus deux plus deux Plus deux plus deux plus deux plus deux Nous, les couples accouplés On est souples, souples, olé ! On s’échange au feeling Quel mélange, ça c’est swing ! Deux plus deux plus deux plus deux Deux plus deux plus deux plus deux Deux plus deux plus deux plus deux Deux plus deux plus deux plus deux Plus deux plus deux plus deux plus deux Nous, les couples du silence On se groupe sous licence Partenaires d’exception On sait faire l’addition Deux plus deux plus deux plus deux Deux plus deux plus deux plus deux Deux plus deux plus deux plus deux Deux plus deux plus deux plus deux Plus deux plus deux plus deux plus deux…
12.
LE PRÉSIDENT CARABISTOUILLE Le président Carabistouille ! Le président Carabistouille A de belles dents, une jolie bouille Oui mais voilà, manque de pot Cet homme-là joue du pipeau Le président Carabistouille C’est évident est une andouille ! Le président Carabistouille C’est évident est une andouille ! Le président Carabistouille A des prétendants qu’il tripatouille Mais c’est un faux-frère, un gros zéro Car il préfère jouer l’hétéro Le président Carabistouille C’est évident n’a pas de couilles ! Le président Carabistouille C’est évident n’a pas de couilles ! Le président Carabistouille Est toujours prudent quand il embrouille Il embobine avec sourire Tête de pine ou de satyre Le président Carabistouille C’est évident est une fripouille ! Le président Carabistouille C’est évident est une fripouille ! Le président Carabistouille ! Le président Carabistouille ! Le président Carabistouille Bientôt s’ra dans la ratatouille Car il va sans dire chers électeurs Que de tous les pires c’est le meilleur Le président Carabistouille C’est évident est une merdouille ! Est une merdouille ! Est une merdouille ! Est une merdouille !...

credits

released October 5, 2022

license

all rights reserved

tags

about

Brindille Paris, France

BRINDILLE chante de sa « voix tabac » ses propres chansons, tendres, douces-amères, décadentes et souvent trempées d’acide. Un style qui lui est propre, assurément.
Maquillé et vêtu de noir de pied en cap, il ne passe pas inaperçu et intrigue beaucoup.
Il chante dans les clubs, les cabarets et les théâtres où un public de plus en plus nombreux vient l’applaudir.
French Press
... more

contact / help

Contact Brindille

Streaming and
Download help

Report this album or account

If you like Brindille, you may also like: