1. |
La Mélodie du désamour
02:30
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LA MÉLODIE DU DÉSAMOUR
Elle est si triste
Comme la pluie
Et la mélancolie
Écoutez-la, la la la la
La mélodie du désamour, du désamour
Mon amour
Ma douleur, mon secret
Pas un jour
Sans peine, sans regrets
Mon amour
Mon désenchantement
Mon amour
Emporté par le temps
Elle est chagrin
Comme un adieu
Comme les larmes dans les yeux
Écoutez-la, la la la la
La mélodie du désamour, du désamour
Mon amour
Entre vivre et mourir
Pas un jour
Ne passe sans souffrir
Mon amour
Mon bel amour perdu
Mon amour
Toi que je n’aime plus
Elle est si triste
Comme la pluie
Et la mélancolie
Écoutez-la, la la la la
La mélodie du désamour, du désamour
Elle est chagrin
Comme un adieu
Comme les larmes dans les yeux
Écoutez-la, la la la la
La mélodie du désamour, du désamour
Du désamour, du désamour.
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2. |
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LE TEMPS DES DAMES EN NOIR
C’était le temps des dames en noir
Qui venaient chanter tard le soir
Dans des cabarets illusoires
C’était le temps des femmes-piano
Catherine Sauvage, Jacqueline Danno
Christine Sèvres, Pia Colombo
C’était le temps des oubliées
Qui ne se sont jamais pliées
Devant les requins du métier
C’était le temps, le temps maudit
Celui-là même que j’applaudis
Que je pleure et qui me séduit
C’était le temps, le temps fugace
Gribouille, Annabel, Betty Mars
Monique Morelli et j’en passe
C’était le temps des émotions
Des voix gravées dans des sillons
Où poussent aujourd’hui mes chansons
C’était le temps des allumées
Des petites salles embrumées
Sous les volutes de fumée
C’était le temps bien révolu
De celles que l’on n’écoute plus
De celles que l’on n’a pas voulues
C’était le temps, une autre époque
Et chaque fois qu’on l’évoque
On en sourit ou on s’en moque
C’était le temps qui s’effiloche
Un peu rive droite, beaucoup rive gauche
Tellement loin, et puis si proche
C’était le temps, le temps passé
De ces artistes délaissées
Je leur ressemble, je le sais
C’était le temps qui désenchante
Pourtant chaque fois que je chante
Elles sont toujours là présentes
C’était le temps des dames en noir
Qui venaient chanter tard le soir
Dans des cabarets illusoires
C’était le temps des femmes-piano
Catherine Sauvage, Jacqueline Danno
Christine Sèvres, Pia Colombo…
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3. |
Il était un enfant
03:03
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IL ÉTAIT UN ENFANT
Il était un enfant
Qui ne demandait rien
Rien qu’à devenir grand
Et vivre avec les siens
Il était un enfant
Comme des milliers d’autres
Comme un ange souriant
Ou peut-être comme le vôtre…
Qu’on ne touche jamais
À l’enfance des enfants
À leurs jeunes années
À leurs premiers printemps
Qu’on ne touche jamais
À l’aube de leur vie
De leur vie désarmée
Face à la barbarie
Je pourrais tuer cent fois
En légitime vengeance
De mes mains, de sang froid
Les tueurs d’innocence
Je pourrais tuer cent fois
En mon âme et conscience
À côté de la loi
Appliquer ma sentence
Car chaque enfant qui meurt
Est un peu notre enfant
Un peu notre douleur
Notre soleil pleurant
Car chaque enfant qui meurt
De la pire des morts
C’est comme une petite fleur
Qu’on écrase sans remords
Aucune compassion
Pas la moindre prière
Pour les crimes sans pardon
La folie meurtrière
Aucune compassion
Pas le moindre recours
Seulement une chanson
Pour la peine d’amour
Il était un enfant
Qui ne demandait rien
Rien qu’à devenir grand
Et vivre avec les siens
Il était un enfant
Comme des milliers d’autres
Comme un ange souriant
Ou peut-être comme le vôtre…
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4. |
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LAISSEZ-MOI DONC ME SOUVENIR
Laissez-moi donc me souvenir
Tant qu’il est à se rappeler
D’un passé privé d’avenir
Avant de le voir s’étioler
Et rarement me revenir
Par quelques bribes emmêlées
Il tourne avec toi dans ma tête
Des bagarres en avalanches
Des premiers tours de bicyclette
Des jours d’école et des dimanches
Des airs de guitare, des fêtes
Et des cabanes dans les branches
De la vieille maison, du village
Un beau jour tu as pris tes distances
Carrière militaire et mariage
Des départs comme autant de souffrances
Qui meurtrissaient mon très jeune âge
Et mettaient un terme à l’enfance
La vie à quai, comme un navire
Nous a réunis quelques fois
J’avais tant de choses à te dire
Mais je n’en avais pas la voix
Ni les mots ni les grands sourires
Tu le comprenais bien, je crois
À la force des bras et de l’âme
Tu allais heureux en sifflant
Mais il avait tissé sa trame
Le mal sournois, le mal violent
Ton cœur s’est éteint comme une flamme
Que l’on fait mourir en soufflant
Novembre dans son pâle écrin
Cendres jetées loin de la terre
Comme on le fait pour tout marin
Dans l’Atlantique-cimetière
L’immensité de mon chagrin
Dans l’absence de toi, mon frère.
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5. |
Les Allemands
04:32
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LES ALLEMANDS
J’ai couché avec les Allemands
Ce sont de merveilleux amants
Ah ! ce ne sont pas les plus moches
Oui, j’ai couché avec les boches
Sous le drapeau blanc, rouge et bleu
Moi, j’ai couché avec les schleus
Et tant pis si ça vous défrise
Oui, j’ai couché avec les fritz
À tous les valeureux Français
Qui ont sauvé leurs biens et leur peau
Sans oublier de dénoncer
Leurs voisins à la Gestapo
Aux bons Gaulois et au bon beurre
Aux profiteurs du marché noir
Aux combattants de la dernière heure
À Jean Moulin, à la victoire
À ceux qui viennent de me tondre
Aux comités d’épuration
Et à tous les planqués de Londres
Je viens chanter cette chanson…
J’ai couché avec les Allemands
Ce sont de merveilleux amants
Ah ! ce ne sont pas les plus moches
Oui, j’ai couché avec les boches
Sous le drapeau blanc, rouge et bleu
Moi, j’ai couché avec les schleus
Et tant pis si ça vous défrise
Oui, j’ai couché avec les fritz
Patrie en fête, patrie en liesse
Patrie qui chasse les sorcières
Patrie debout, patrie si fière
Patrie mon cul, patrie mes fesses
Je ne peux plus faire de mise en plis
Mais l’crâne rasé, plaisante-t-on
Ça vaut bien l’amour des Teutons
Et au diable les bigoudis
Aurait-on ri avec entrain
Si l’on avait coupé les couilles
Aux hommes qui ont fait des papouilles
Aux femmes de l’autre coté du Rhin
J’ai couché avec les Allemands
Ce sont de merveilleux amants
Ah ! ce ne sont pas les plus moches
Oui, j’ai couché avec les boches
Sous le drapeau blanc, rouge et bleu
Moi, j’ai couché avec les schleus
Et tant pis si ça vous défrise
Oui, j’ai couché avec les fritz
Vive la France et l’Armistice
L’eau de Vichy et la police
Les défilés, les défouloirs
Les trous d’obus, les trous d’mémoire
Il y a eu des médaillés
Il y a eu des fusillés
Des salauds portés en héros
Moi, j’ai eu la boule à zéro
Je n’ai pas versé une larme
Et je n’en ai pas fait un drame
J’ai été vraiment résistante
Et tant pis pour la permanente
J’ai couché avec les Allemands
Ce sont de merveilleux amants
Ah ! ce ne sont pas les plus moches
Oui, j’ai couché avec les boches
Sous le drapeau blanc, rouge et bleu
Moi, j’ai couché avec les schleus
Et tant pis si ça vous défrise
Oui, j’ai couché avec les fritz
J’ai couché avec les Allemands
Ce sont de merveilleux amants
Ah ! ce ne sont pas les plus moches
Oui, j’ai couché avec les boches
Sous le drapeau blanc, rouge et bleu
Moi, j’ai couché avec les schleus
Et tant pis si ça vous défrise
Oui, j’ai couché avec les fritz.
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6. |
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ON S’EST RENCONTRÉ À MONTMARTRE
On s’est rencontré à Montmartre
À quelques pas du Sacré-Cœur
Dans un petit café-théâtre
Toi comédienne et moi chanteur
On entrait dans la vie d’artiste
Avec passion, avec folie
Inconscients ou idéalistes
Buvant la nuit jusqu’à la lie
C’était le temps de la débrouille
Le temps de toutes les ivresses
De tous les excès, des embrouilles
Mais pas celui de la sagesse
Malgré les heurts et les ruptures
La jalousie des uns, des autres
On a poursuivi l’aventure
Bon an, mal an, mais côte à côte
Et de castings en auditions
De salles vides en salles pleines
De bravos en désillusions
On n’a jamais quitté la scène
Sur le chemin de l’espérance
Ensemble, on a tout partagé
Les succès comme la malchance
Les jours fastes, les jours sans manger
Aujourd’hui, pas de nostalgie
Seulement un peu de vague à l’âme
On ne s’est pas du tout assagit
On a gardé en nous la flamme
Bien sûr, on a pris un peu d’âge
Mais on n’a pas vieilli vraiment
C’est là sûrement l’avantage
De ceux qui s’aiment sans être amants
Quand parfois il m’arrive de
Remonter les marches du temps
Je nous retrouve tous les deux
Quand on était des débutants…
On s’est rencontré à Montmartre
Quand on avait vingt ans à peine
Dans un petit café-théâtre
Moi chanteur et toi comédienne.
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7. |
Oh Pierre !
02:27
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OH PIERRE !
J’avais mis fin à mes nuits
J’avais rangé mes chansons
Je n’espérais rien, et puis
Sans prévenir, sans façon
Il s’est glissé dans mon cœur
Par je ne sais quelle artère
Comme un diable d’enchanteur
Le coquin a su me plaire... Oh Pierre !
Pierre précieux, Pierre de brume
Pierre qui roule dans ma fête
LuciPierre qui allume
Au coin du bar ma cigarette
Pour séduire sans mot dire
Le fripon sait bien y faire
Il lui suffit d’un sourire
D’un battement de paupière... Oh Pierre !
Il sait faire la cabriole
Et de drôles de galipettes
Il ne boude pas l’alcool
Ce n’est pas la fée Clochette
Il est rose de péchés
Il est loin d’être exemplaire
Il pourrait faire s’arracher
Les cheveux au très Saint-Père... Oh Pierre !
Voyez ce prix de beauté
Ce joli petit matou
Comme il sait bien se frotter
Contre vous tout doux, tout doux
Que la Lune garde son Pierrot
Je m'en fous, car je préfère
De loin -et y a pas photo-
Celui que j'ai sur la Terre... Mon Pierre !
Entre « amour » et « amitié »
Moi j’ai mis un trait d’union
L’un et l’autre sont liés
Pourquoi faire la distinction
Et je n’ai aucun problème
Pour lui dire à ma manière
À ce filou que je l’aime
Il me comprendra, j’espère... Oh Pierre !
Oh Pierre ! Oh Pierre ! Oh Pierre !
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8. |
L'Objet femme
02:19
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L’OBJET FEMME
Tous les objets ont une âme
Même les femmes, même les femmes
Dans leurs corps y a un esprit
Sapristi ! Sapristi !
On ne l’aurait jamais cru
On en reste sur le cul
Tous les objets ont une âme
Même les femmes !
Dans toute chose qu’on se le dise
Y a de la matière grise
Il n’y a pas qu’un pois chiche
Au fond de chaque potiche
J’ai même vu des bonbonnes
Qui avaient plus d’un neurone
J’ai vu aussi des crécelles
Avec un brin de cervelle
J’ai vu de ces trucs inouïs
Qui possédaient un Q.I.
Des machins sans importance
Qui avaient une conscience
Alors sans blaguer j’affirme
Je réponds à Lamartine
Et à tous les misogynes
Même si ça les déprime
Tous les objets ont une âme
Même les femmes, même les femmes
Dans leurs corps y a un esprit
Sapristi ! Sapristi !
On ne l’aurait jamais cru
On en reste sur le cul
Tous les objets ont une âme
Même les femmes !
Tous ces bibelots, ces bidules
Qu’on déplace, qu’on manipule
Recèlent une intelligence
Qui réfléchit et qui pense
Même les vieux ustensiles
Peuvent parfois être utiles
Maintenant qu’on est au courant
N’appelons plus les encombrants
Bergère, pouf ou mannequin
Ne les laissons pas dans un coin
Même si c’est bouffé aux mites
Une présence les habite
Vivants ou inanimés
Cessons de les malmener
Et n’oublions pas de leur faire
De temps en temps la poussière
Tous les objets ont une âme
Même les femmes, même les femmes
Dans leurs corps y a un esprit
Sapristi ! Sapristi !
On ne l’aurait jamais cru
On en reste sur le cul
Tous les objets ont une âme
Même les femmes !
Tous les objets ont une âme
Même les femmes, même les femmes
Dans leurs corps y a un esprit
Sapristi ! Sapristi !
On ne l’aurait jamais cru
On en reste sur le cul
Tous les objets ont une âme
Même les femmes !
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9. |
L'Enfant lumière
03:13
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L’ENFANT LUMIÈRE
Le temps, le temps qui passe
Me fait parfois offrande
D’éblouissants soleils
Quelques instants de grâce
Accrochant des guirlandes
À mes nuits sans sommeil
Je vais, je déambule
Drapé dans le chagrin
Irradié par l’enfance
En joyeux funambule
Surplombant le chemin
De ma désespérance
Et s’éloignent les brumes
Et s’éloignent les ombres
Qui tourmentent mon âme
Les bouquets d’amertume
Qui fleurissent les tombes
Où ruissellent mes larmes
Ma fantasmagorie
Crépite dans le feu
De l’hiver-solitude
Mon cœur endolori
S’égaye peu à peu
Au piano des préludes
Mais hélas les chimères
Bien vite disparaissent
Où vont-elles se perdre
Ces rêves éphémères
En vérité me laissent
À mes seules ténèbres
Je vais, je déambule
Drapé dans le chagrin
Prisonnier de l’enfance
Malheureux funambule
Surplombant le chemin
De ma désespérance
Et reviennent les brumes
Et reviennent les ombres
Qui tourmentent mon âme
Les bouquets d’amertume
Qui fanent au pied des tombes
Où ruissellent mes larmes
Se soulèvent les vents
Les nuages de sable
Et les pages des livres
Je suis toujours vivant
Triste et inconsolable
D’avoir ma vie à vivre
Appels désespérés
Inutiles prières
Mais qu’il en soit ainsi
Je sais, je ne serai
Jamais l’Enfant Lumière
Même si, même si…
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10. |
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AUTANT EN EMPORTENT LES VIOLONS
Tu es si près de moi mais on ne se voit jamais
Je me demande parfois… m’as-tu vraiment aimé
Entre nous deux s’installent de pénibles moments
Une distance fatale, un désenchantement
J’attends
J’attends à tes côtés
L’instant de nous quitter
L’amour
L’amour nous est compté
Pourtant
Nos soupirs étaient longs
Nos nuits, des tourbillons
Autant
En emportent les violons
Tu vis tout près de moi mais tu as l’air si absent
J’ai de plus en plus froid, tu me glaces le sang
Un démon a ouvert ses grandes ailes noires
Il est venu l’hiver au ciel de notre histoire
J’attends
J’attends à tes côtés
L’instant de nous quitter
L’amour
L’amour nous est compté
Pourtant
Nos soupirs étaient longs
Nos nuits, des tourbillons
Autant
En emportent les violons
Je suis tout contre toi mais tu es déjà ailleurs
Je n’entends plus en moi les battements de ton cœur
J’ai perdu ma gaieté et ma rage de vivre
Je n’ai jamais été si près de la dérive
J’attends
J’attends à tes côtés
L’instant de nous quitter
L’amour
L’amour nous est compté
Pourtant
Nos soupirs étaient longs
Nos nuits, des tourbillons
Autant
En emportent les violons.
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11. |
La maison qui pleure
02:49
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LA MAISON QUI PLEURE
C'est une vieille maison qui pleure
Les ombres du passé la hantent
Elles se glissent, elles effleurent
Les murs qui saignent et se lamentent
C'est une maison solitaire
Lugubre comme un ossuaire
Au fil des ans elle s'enfonce
En gémissant dessous les ronces
C'est une maison angoissée
Et autour d'elle quelques arbres
Posés comme des candélabres
Sanglotent dans le vent glacé
C'est une maison grise et triste
Perdue au milieu de la lande
Dans son paysage sinistre
Elle fait peur à pierre fendre
C'est la maison du souvenir
Qui n'en finit pas de mourir
De faire voler dans ses couloirs
Les lambeaux de son désespoir
C'est la maison des maléfices
La mort y est entrée trop de fois
On y a planté trop de croix
Pour que les lilas refleurissent
C'est une maison que j'ai fermée
Je l'ai quittée il y a longtemps
Que personne n'y entre jamais
Qu'elle tombe en ruine lentement
C'est une maison sans famille
On a arrêté les aiguilles
Et le feu s'est alors éteint
C'est mon héritage de chagrin
C'est la maison de la souffrance
Qui pleure depuis des années
Comme une mère abandonnée
C'est la maison de mon enfance.
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12. |
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JE VOUS SALUE MARINE !
Je vous salue Marine !
La reine de la vermine
Marine la blondasse
Allez, on tire la chasse
Car, fille de votre père
On vous poussera, j’espère
Au fond d’une latrine
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
La pire des toxines
Le fiel et la ciguë
La haine, le rebut
J’aimerai voir ça, c’est sûr
Votre kommandantur
Sauter sur une mine
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
La satanée trombine
La chienne de Belzébuth
La cocotte… Minute
Votre putain d’extrémisme
C’est comme le communisme
C’est de la merde en terrine
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
Ou plutôt Adolfine
Partez donc loin d’ici
Pourquoi pas en Nazie
Vous pouvez vous casser
En Russie pour sucer
La bite de Poutine
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
Je vous salue Marine !
La reine de la vermine
Marine la blondasse
Allez, on tire la chasse !
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Brindille Paris, France
BRINDILLE chante de sa « voix tabac » ses propres chansons, tendres, douces-amères, décadentes et souvent trempées d’acide.
Un style qui lui est propre, assurément.
Maquillé et vêtu de noir de pied en cap, il ne passe pas inaperçu et intrigue beaucoup.
Il chante dans les clubs, les cabarets et les théâtres où un public de plus en plus nombreux vient l’applaudir.
French Press
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